Cette semaine à l’émission Les Oranges Pressées sur CIBL, on marque officiellement le premier jour de l’été, avec une chronique discutant de l’impact de cette saison de l’année sur le marché immobilier au Québec.

Dès février, mars et avril, on note une augmentation des clients, ces derniers se préparant à déménager à la fin juin ou au 1er juillet. En période estivale, ce bassin d’acheteurs se réduit mais l’ensemble d’entre eux a des intentions sérieuses et des objectifs précis. Pour ceux qui n’ont pas encore trouvé la perle rare, l’été est la saison idéale pour visiter des propriétés à leur meilleur, avec des terrasses aménagées, des jardins entretenus et des balcons reposants. On dit aussi que c’est une excellente période pour négocier puisque chaque acteur de la transaction est plus détendu et reposé.

La clientèle
Globalement deux sortes de clientèles se distinguent sur le marché à cette période de l’année.
D’une part, une clientèle européenne se déplaçant à Montréal pour acheter. Ils viennent en couple ou en famille pour s’établir ou alors veulent acquérir une propriété pour loger leurs enfants aux études. Dans le premier cas, ces acheteurs européens vont s’orienter vers des propriétés dispendieuses sur Le Plateau ou dans Ville-Marie. Dans le deuxième cas, ils sont plutôt à la recherche d’appartements petits et bons marché.

La seconde catégorie de clients d’été regroupe les personnes qui ont tenté de vendre leur propriété par elles-mêmes tout le printemps mais qui n’y sont pas parvenues. Ces vendeurs se tournent alors vers les courtiers immobiliers pour un coup de pouce.

Malgré quelques légères tendances, le marché immobilier s’étend plutôt sur les 12 mois de l’année plutôt que d’être simplement condensé sur certaines saisons.

  
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