L’été, le temps est à la légèreté et nous vous partageons quelques faits divers immobiliers qui traversent le temps.

Fait numéro 1 :

L’Humble demeure de William Buffet.
Le milliardaire Warren Buffett habite la même maison depuis 61 ans !
Il est étonnant de constater, connaissant les excentricités immobilières habituelles des milliardaires, qu’un des hommes les plus riches de la planète, soit un homme modeste en matière d’habitation.
Il habite ce  joli cottage à l‘anglaise à Omaha au Nebraska, qu’il a payé 31 000$ et 1958 et qui en vaut aujourd’hui environ 700 000$.
La fortune de m. Buffet s’élève à environ 73 milliards de dollars.
Une octogénaire qui a toujours eu des valeurs personnelles plutôt frugales.

Fait numéro 2 :

Le saviez-vous ? Derrière chaque porte se cache une signification.
Nathalie Clément le sait, car à défaut d’attacher une affection particulière aux sacs à main, ou aux paires de chaussures, notre directrice d’agence possède une véritable passion pour les portes. Qu’elles soient vieilles, nouvelles ou colorées.

Mais pourquoi certaines portes d’entrée sont-elles parfois rouges ?

Une porte rouge dans le monde anglo-saxon symbolise que les propriétaires ont fini de payer leur hypothèque. Autrefois aux États-Unis, une porte rouge était signe d’accueil pour les voyageurs, un endroit sécuritaire où les globe-trotters pouvaient se reposer en toute quiétude. En Chine, la couleur rouge porte chance et illustre l’entrée par laquelle le Chi, principe fondamental formant et animant l’univers et la vie, peut pénétrer dans la maison.  

Les statutes de lions que l’on peut voir à divers endroits à Montréal et ses environs ont également leurs histoires traditionnelles. Au Vietnam, elle protège et enrichit ses habitants. En Chine, elle garde la maison contre les accidents et les vols. Pour les bouddhistes, les statutes de lions apportent paix et prospérité et en Italie, le lion est symbole de puissance et de prestige. Au Québec, la tradition veut que les québécois placent un ou deux lions devant leur propriété quand l’hypothèque est payée. Qu’il soit devant une porte ou à côté des escaliers, le lion dans les traditions immobilières reste fidèle à lui-même, vénérable, respectable et puissant, telle qu’on peut le voir dans certains édifices populaires à Paris ou New York.

Fait numéro 3 :

Le saviez-vous ? Il existe un super-héros de l’hypothèque.

Pretty Boy Floyd de son vrai nom Charles Arthur Floyd était un voleur dans les années de la dépression dans le mid ouest américain. C’était un bandit aimé par le goût d’aider le peuple, car lorsqu’il braquait des banques, il jetait des billets par les fenêtres en partant pour aider les gens en difficulté. Pendant cette période de dépression il y avait beaucoup de reprises de possession de terre et de fermiers qui n’avaient plus les moyens de rembourser leur hypothèque. Lorsqu’il braquait une banque, il prenait le temps de détruire les actes hypothécaires à portée de sa main, espérant qu’ils ne soient pas enregistrés et qu’ainsi la banque perde toute trace tangible des dettes hypothécaires de ses clients. Grâce à ses actions, il devint un bandit  très populaire auprès des citoyens !

Par contre, en 1934 il était l’ennemi public  #1 du FBI d’Edgar J. Hoover.

Vous aussi vous connaissez quelques faits cocasses immobiliers ?

Vous pouvez nous envoyer un message privé sur notre Facebook Via Capitale Du Mont-Royal ou par courriel pour nous les partager !